Archipel des Australes vu du ciel
Les Marquises, ce sera pour plus tard, finalement nous décollons ce matin pour l'archipel des Australes, environ 600 kms dans le sud de Tahiti. L'appareil photo toujours dans la sacoche, j'en ai profité pour prendre quelques clichés des îles de Raivavae et Tubuai.
Des îles au climat plus frais en cette saison, qui sont le grenier de la Polynésie, mais dont la couleur des eaux du lagon est magnifique dès que le soleil veut bien les honorer.
Des montagnes qui s'élèvent vers le ciel, quelques habitations le long de la côte reliées par une unique route. Dès que l'on s'approche, l'image est austère, mais avec le soleil comme vous pourrez le constater, c'est un décor de cartes postales.
La Polynésie, vaste comme l'Europe, ce n'est pas qu'une image, mais avec le Gardian, ces îles sont à peine à une heure de vol. Il est vrai qu'avec de tels paysages vus d'avion, chaque vol est un plaisir.
Cet après midi, shopping avec Audrey dans les rues de Papeete. Ici, rien ne manque, les boutiques à la mode, les librairies, tout se trouve pourvu que l'on y mette parfois le prix. Cela dit, depuis que nous sommes ici, il faut relativiser. Pour peu que l'on oublie les habitudes purement françaises, la vie est agréable et pas plus chère que dans le sud de la France.
Nous nous régalons de poissons, et le marché de Papeete est une caverne d'Ali Baba pour dénicher tous les produits à des prix abordables.
Aujourd'hui, c'était le deuxième jour d'école pour les enfants, debout 6 heures, pour commencer à 7h. Audrey cependant finissait à 11h et Fabien à 15h10. Pour le moment, ce n'est pas trop dur, la chaleur est supportable, mais sans clim, à la saison chaude, pour peu que le sommeil soit difficile, cela sera une autre affaire.
Le soir, la tombée de la nuit à 18 heures, casse un peu le rythme, et comme je me lève à 05h30, les soirées sont assez calmes, préparation des futurs voyages, classement des photos, et repas. Le long week end du 15 août arrive, quelques invitations, et après midi au Méridien en perspective car je suis d'alerte jusqu'à lundi prochain. Je pense aussi qu'il y a pire comme programme.
Pour le moment, Tahiti nous permet de retrouver davantage de sérénité. Pas de stress, la vie est plus calme, les tahitiens ne se prennent pas la tête avec des pécadilles. Aussi, les contacts sont plus amicaux ou à défaut plus courtois. Par contre, la circulation est une plaie pour aller à des rendez vous. En fonction des horaires, on passe d'une circulation fluide, au chassé croisé sur le périphérique parisien. Une pure folie, où il faut prendre son mal en patience. Heureusement notre maison est placée idéalement pour la plupart des déplacements.
Par contre la pollution est impressionnante. Et si la couleur du lagon est toujours aussi bleue, celle de mes poumons va passer au noir.
Déjà un mois sur le Fenua, et nous n'avons pas vu le temps passer. Il y a tellement de choses à découvrir, c'est impossible de s'ennuyer. Pour moi, c'est le rêve tous les matins en me levant, et la vue sur le lagon et l'île de Moorea au réveil permet de démarrer la journée avec le sourire.
Des îles au climat plus frais en cette saison, qui sont le grenier de la Polynésie, mais dont la couleur des eaux du lagon est magnifique dès que le soleil veut bien les honorer.
Des montagnes qui s'élèvent vers le ciel, quelques habitations le long de la côte reliées par une unique route. Dès que l'on s'approche, l'image est austère, mais avec le soleil comme vous pourrez le constater, c'est un décor de cartes postales.
La Polynésie, vaste comme l'Europe, ce n'est pas qu'une image, mais avec le Gardian, ces îles sont à peine à une heure de vol. Il est vrai qu'avec de tels paysages vus d'avion, chaque vol est un plaisir.
Cet après midi, shopping avec Audrey dans les rues de Papeete. Ici, rien ne manque, les boutiques à la mode, les librairies, tout se trouve pourvu que l'on y mette parfois le prix. Cela dit, depuis que nous sommes ici, il faut relativiser. Pour peu que l'on oublie les habitudes purement françaises, la vie est agréable et pas plus chère que dans le sud de la France.
Nous nous régalons de poissons, et le marché de Papeete est une caverne d'Ali Baba pour dénicher tous les produits à des prix abordables.
Aujourd'hui, c'était le deuxième jour d'école pour les enfants, debout 6 heures, pour commencer à 7h. Audrey cependant finissait à 11h et Fabien à 15h10. Pour le moment, ce n'est pas trop dur, la chaleur est supportable, mais sans clim, à la saison chaude, pour peu que le sommeil soit difficile, cela sera une autre affaire.
Le soir, la tombée de la nuit à 18 heures, casse un peu le rythme, et comme je me lève à 05h30, les soirées sont assez calmes, préparation des futurs voyages, classement des photos, et repas. Le long week end du 15 août arrive, quelques invitations, et après midi au Méridien en perspective car je suis d'alerte jusqu'à lundi prochain. Je pense aussi qu'il y a pire comme programme.
Pour le moment, Tahiti nous permet de retrouver davantage de sérénité. Pas de stress, la vie est plus calme, les tahitiens ne se prennent pas la tête avec des pécadilles. Aussi, les contacts sont plus amicaux ou à défaut plus courtois. Par contre, la circulation est une plaie pour aller à des rendez vous. En fonction des horaires, on passe d'une circulation fluide, au chassé croisé sur le périphérique parisien. Une pure folie, où il faut prendre son mal en patience. Heureusement notre maison est placée idéalement pour la plupart des déplacements.
Par contre la pollution est impressionnante. Et si la couleur du lagon est toujours aussi bleue, celle de mes poumons va passer au noir.
Déjà un mois sur le Fenua, et nous n'avons pas vu le temps passer. Il y a tellement de choses à découvrir, c'est impossible de s'ennuyer. Pour moi, c'est le rêve tous les matins en me levant, et la vue sur le lagon et l'île de Moorea au réveil permet de démarrer la journée avec le sourire.